Archives pour février 2008

112 points d’expérience !

real title exp 112

Vous ne le savez sûrement pas - et vous n’en avez probablement rien à carrer - mais il ne s’en est fallu d’un rien, dans mon orientation professionnelle, pour que je ne devienne un sportif professionnel de haut niveau, catégorie belote. Pas la basque, hein, non, la vraie, l’unique, celle qui se pratique lors de la réunion Dominiquale - quand c’est ma mère qui reçoit, et ma mère, ben, elle s’appelle Dominique - du dimanche - il arrive aussi, parfois, que ma mère elle reçoive un autre jour que le dimanche, ce pourquoi je précise une réunion Dominiquale du dimanche, ce qui peut sembler, à tort, un noeud un peu fémisme, je l’avoue, je l’aveu.

Bref, une formation intensive par les grand-pères qui me prédestinait à devenir champion de belote, à suivre les grand tournois internationaux, à vivre de grand motels en grand motels, et à commenter le tout sur Canal+… Je m’y voyais déjà, à remporter prix sur prix, jambon à l’os, pâté forestier, boules de pétanque, perceuses… Et finalement, non, j’ai pris une autre voie, mais ça m’a quand même permis de faire de longues études, la belote, hein, et d’y briller autrement que par mes absences.

À ce point de la lecture, vous vous demandez sûrement quel est le rapport avec Expérience 112, à moins que vous ne soyez pas arrivé jusque là, étant un joueur de poker m’ayant snobé morvement dès l’apparition du mot Belote…

C’est bien simple, Micro Application, pour moi, c’était le genre d’éditeur bien dans son tiroir, à savoir les pauvres jeux de carte (Belote, Tarot, etc), les pauvres trucs routiers avec d’autre genre de cartes (atlas, permis de conduire, etc), voire les pauvres trucs tout court, mais toujours avec des cartes (impression de cartes de visites, motifs de canevas, etc), et là, qu’apprends-je, que vois-je, que jeux-je ?! Que Micro Application se lance dans le jeu d’aventure et qu’en plus, ça sort de sentiers battus comme des œufs en neige !

Allez c’est sur, il faut vraiment que j’essaye ça… en espérant qu’il y aurait bien un mini-jeu de belote à débloquer quelque part, qui sait ?
Poursuivre la lecture de «112 points d’expérience !»

Crysis of Duty

callofcrysis_00.jpg

Ou Call of Crysis, vous allez comprendre pourquoi (assez, enfin, relativement) rapidement.

Il y a quelques jours, de passage chez un pote, je tombe sur une toute belle boîte de jeux vidéo PC (ce qui est, disons le, pas si fréquent… Le succès de la plate-forme de téléchargement Steam, probablement). Le packaging flambant neuf fleure bon le récent petit Noël du gamer. Il s’agit de Crysis.

Perfide, je lui demande ce qu’il en pense. Perfide disais-je, parce qu’ayant assemblé sa machine il y a quelques années, je sais très bien que dans sa vieille tour moche e-star (son choix, à l’époque), il traîne, bien au chaud dans un quintal de poussière, un Athlon Thunderbird fréquencé autour du gigahertz, une GeForce 2 Pro et 512 Mo de Ram (si je me souviens bien). Ce qui déchirait à l’époque, si.

Verdict, impossible d’installer la bête, les 12 Go (et oui !) nécessaire à cette opération n’étant pas disponible, il cherche (mollement) une solution. Tel le chacal moyen, je le rassure gentiment en lui disant que ce n’est pas grave, que de toutes manières, ça ne tournera jamais sur sa machine, même en changeant de disque, oui, pareil pour la carte graphique, Vista n’aidera pas, non. C’est mort, c’est comme ça, faut changer de bécane, je sais, c’est dur, c’est moche, condoléances, tout ça. Poursuivre la lecture de «Crysis of Duty»